Crise à Wall Street : 2 400 milliards perdus après une annonce choc de Trump
La Bourse américaine a connu un effondrement brutal, causé par une décision de Trump. 2 400 milliards partis en fumée.
La Bourse américaine a connu un effondrement brutal, causé par une décision de Trump. 2 400 milliards partis en fumée.
Un effondrement historique frappe la Bourse de New York. En une seule journée, 2 400 milliards de dollars se sont évaporés. À l’origine, une décision brutale de Donald Trump qui relance la peur d’une guerre commerciale mondiale. Voici tous les détails sur ce jeudi noir qui secoue l’économie mondiale.
Un jeudi noir aux conséquences dévastatrices
La Bourse de New York a subi sa pire séance depuis juin 2020. Une journée marquée par une panique boursière globale. En cause, l’annonce fracassante de nouveaux droits de douane par Donald Trump. Une mesure qui a ravivé les craintes d’un conflit commercial de grande ampleur.
Les marchés financiers ont réagi instantanément. Le Dow Jones a chuté de 1 679 points, soit une baisse de 4 %. Le S&P 500 a reculé de 4,8 %, et le Nasdaq, très exposé aux technos, a plongé de près de 6 %. Au total, ce sont plus de 2 400 milliards de dollars de capitalisation boursière qui ont été effacés en quelques heures.
Les géants de la tech et les banques lourdement touchés
Les plus grandes entreprises américaines ont été les premières victimes. En tête, Apple, qui s’effondre de 9,2 %. C’est sa pire journée en cinq ans. La marque à la pomme souffre d’une exposition massive à la Chine. Elle doit désormais faire face à 54 % de droits de douane cumulés, un coup dur pour ses marges.
Amazon chute de 9 %, Nvidia de 7,8 %. Même les géants du textile comme Nike et Ralph Lauren reculent fortement, avec des baisses respectives de 14,4 % et 16,3 %. Les grandes banques n’ont pas été épargnées. Citigroup, Bank of America et JPMorgan Chase enregistrent des pertes allant jusqu’à 12 %.
Le spectre d'une récession mondiale se précise
Pour le Fonds Monétaire International, la situation est alarmante. Sa Directrice Kristalina Georgieva alerte sur le risque élevé d’une récession mondiale. Elle appelle les États-Unis et leurs partenaires à éviter toute mesure qui pourrait aggraver la situation économique.
Deutsche Bank et Bank of America confirment l’urgence. Selon leurs analyses, les droits de douane pourraient précipiter l’économie américaine « au bord de la récession ». HSBC estime à 40 % la probabilité d’une récession d’ici la fin de l’année, intégrée par les marchés boursiers eux-mêmes.
Un impact direct sur les foyers américains
En six semaines, l’indice S&P 500 a perdu 12 %. Une baisse qui affecte directement les retraites par capitalisation de millions d’Américains. Donald Trump, interrogé à bord d’Air Force One, tente de rassurer : « C’était un patient malade, il a été opéré. Maintenant, il faut le laisser se stabiliser. »
Mais les marchés, eux, ne semblent pas convaincus par ce discours optimiste. La tension reste palpable.
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